et qu’on se dit qu’on pourra refaire le son d’un autre avec alors que l’important est de trouver qqch qui
te soit propre
j’ai un chevalet à 2 points, il parait que c’est bien mais moins bien qu’un wilkinson ou pas? si on aime le bouger assez souvent
Le problème c’est qu’avec le temps, les couteaux vont s’user et ensuite il y aura de + en + de frottements et l’accordage tiendra pu.
Le must dans le domaine, c’est de ne plus avoir de couteaux mais les mêmes roulements à aiguilles que t’as dans les trains d’atterrissage des Airbus...
et une fois qu’on a tout changé, même si c’est bien mieux, c’est pas encore le Graal
et on se décide enfin à arrêter l’autosuggestion et aller s’essayer à d’autres crémeries
plus que le jb junior, plus de médiums
(au fait, Seymour Duncan, c’est since 1976, Benedetti, c’est since 1959)
Sinon, si le JbjR est la version stack du SH4 sauf qu’il n’est pas alnico mais céramque, le Hot Rails me fait beaucoup beaucoup
penser à une version stack des SH5 qui justemet ont aussi un paquet de medium, et les SH5
je les supportais plus du tout, je te garantis que le + de mediums est hyper relou
Tiens, dans le genre, un gus a fait un review des ses texas special CS sur AF, ils les a monté
justement sur Exca original et lui aussi ne supportait plus le mid boost des SH5/TB5...
De toutes façons, à terme, y’a pas que tous les Seymours qui vont dégager de mes grattes
le son Seymour aussi avec le grain maison qui s’impose me broute sincèrement, mais aussi
tous les micros céramiques, le Fast Track en bridge de l’autre Exca par exemple :
les céramiques, ça sonne trop froid.
Sinon, j’ajoute que je commence à subodorer que les multiplications de micros pseudo spécialisés,
hé bien on est dans le même trip que tous les HPs pseudo spécialisés chez Eminence :
je vois à l’usage qu’avec des choses qui ont un son plus large, ouvert, précis et ne mettant pas en exergue ceci et cela
comme fréquence et même ayant plus de bande passante, en quelque sorte des trucs "droits" et larges, j’obtiens
de bien meilleurs résultats car en fait, le son est bien plus malléable pour être travaillé à loisir
et bienque je sois loin d’en abuser, en pratique, j’ai moyen de faire du cut/boost de fréquence en plein d’endroits de la chaine y compris
en touchant au facteur Q d’une partie des bandes de fréquences ou encore en mettant les EQ en interaction.
Au niveau de la capacité, on est à l’inverse du son clé en main mais dans la capacité à le sculpter, ça peut
faire très peur de par la potentielle complexité et en même temps, comme tous les éléments de la chaine sont très bons,
ça sonne déjà super en brut de décoffrage et en fait, tu as très peu à te faire chier pour atteindre un résultat optimal :
en pratique, j’ai rarement à faire autre chose que de choisir le canal de préamp adapté, jouer sur le tone strack de Triaxis et sur les 20 presets du dynamic voice qui n’est rien d’autre que l’EQ 5 bandes des Mesa réduit à 20 réglages typiques.
En tous cas, ce n’est ’facile’ qu’avec des bobines à son ’ouvert’ que ce soit niveau micros ou HPs...
le système pourrait l’être plus si j’utilisais qqch de - typé que du Marsh en EL84 en puisance, mais je tiens à garder
un côté roots à ce niveau (ça neutralise les sons ultra bourrin car ça bave trop)...
En tous cas, c’est définitivement tout ce qui est bobines qui influe le plus sur le son, d’ailleurs, il n’y a qu’à voir à quel
point un effet à bobine comme la wah est violent au niveau de la texture du son pour s’en convaincre