C"est assez flou.Vois-tu bien?
Quels sont les styles et instruments que tu pratiques,quel age as tu, quels sont les diplômes que tu as acquis, quels sont tes activités musicales extra scolaire.Conservatoire, groupe, prestations musicales réussies, projets musicaux en cours...
...quel orientation souhaites- tu ( technique du son, promotions et communication, secteur pédagogique, carrière d’artiste....roadies?)
hein, quoi, oui, je note: "ta grand mère fait du vélo...ok. mais c’est très secondaire comme paramètre...
Voilà, tu nous éclaires un peu plus, et puis je pourrais peut être t’aider en racontant autre chose que des conneries....
Alors je fais de la guitare depuis 10 ans, mon âge....ca reste pour moi ! En activités musicales, je suis plutôt du genre à me réserver un studio et à pratiquer seul et cela depuis 10 ans ! J’ai fait une premiere année de conservatoire et en plus de mon boulot j’ai étudié le solfége sur mon temps libre.
Quand à ce que j’aimerais c’est avoir le statut de musicien professionnel. Ce qui me plaisait chez ATLA c’est déjà comme dit l’année préparatoire pour rattraper le manque de niveau, mais aussi les rencontres avec artistes, les tarifs ne sont pas exorbitant non plus enfin quand on a prévu une épargne pour ^^ !
Simplement je ne souhaite pas faire cela en capital.
J’espére t’avoir éclairé un peu plus si ce n’est pas le cas je compléterai !
Le C I M existe t’il en province?Ecole jazz.
Et pourquoi pas dans notre chère capitale ? Ca nous aiguillerait un peu aussi de savoir pourquoi tu ne cibles pas une école qui semble correspondre à tes attentes.
Pour le reste, il faut regarder partout, tu as moins d’une quinzaine de centres de formation réellement sérieux et implantés qui répondraient à tes attentes, dans toute la France et pour des tarifs variés. Quasiment toutes proposent des niveaux de formation variables, selon les matières et ensembles (théoriques et pratiques), avec chacune des spécificités propres (plus généraliste ou plutôt jazz, plus axée sur la technique, etc.). Ne te focalise pas trop sur les parties diplômes ou reconnaissance par l’Etat, la renommée des profs, etc. Ce qui compte, c’est un programme complet qui fasse le tour de tous les aspects du métier. Un peu d’ancienneté est un plus, pas décisif, ça permet surtout de se faire une idée plus rapidement sur ta capacité à communiquer et sur ta méthode quand tu débarques en parfait inconnu. Ca permet parfois de ne pas être éconduit avant de passer un gros casting important (genre comédie musicale, par exemple).
Enfin, n’oublie pas une chose : toutes ces écoles n’existent que parce qu’il y a des autodidactes qui veulent rentrer dans les clous. Une école qui ne formerait que des musiciens complets et aguerris serait vide la plupart du temps. Ils sont là pour ça et leur pédagogie est la plupart du temps adaptée.
Je n’aime pas du tout la vie parisienne, la plus part de mes proches s’y trouvent. Autant que ce soit au niveau de la pollution, du coût de la vie, des temps de trajets et autres. J’aime la liberté qu’apporte la vie en province.
C’est bien ce qui me plaisait chez ATLA, l’ancienneté mais aussi le fait qu’une école comme celle ci élargirait mes horizons qui pour le moment ne me semble pas allés très loin. Pour le reste, je suis autodidacte et ayant essayé le conservatoire je n’y trouve pas ma place...ce que tu m’expliques me donnes encore plus envie de me rediriger vers ce genre d’école !
Si tu veux goûter au soleil du Nord, il y a l’EF2M à Tourcoing(-plage), avec une prepa et audition d’entrée. Mais oui c’est vraiment le moment de s’inscrire je pense!
Salut,
Sinon l’une des plus réputée c’est la M.A.I à Nancy (j’ai un pote qui à fait Atla puis la M.A.I, il préfère la M.A.I)
Merci pour vos réponses, EF2M à Tourcoing pourquoi pas mais si je peux éviter cette ville. J’y suis né et y ai vécu pas mal de temps.
Pour la MAI à Nancy, je m’étais déjà renseigné. Le soucis c’est que eux ne prennent que sur audition + enregistrement, elle est adressée aux musiciens confirmés :s
Salut,
Il n’y a pas qu’un moyen de se former.
Tu peux prendre des cours, jouer en groupes en parallèle....
Si tu veux devenir pro, le fait de jouer en groupe et d’avoir un réseau de connaissance sera plus utile que d’avoir un diplôme, sauf pour enseigner.
Justement, comme le disait Taz, si je cherche une école c’est pour étoffer mon panel de connaissances. Et pourquoi pas donner des cours. Ca fait 6 ans que j’hésite à faire le pas et je suis sûr et certain de ce que je veux et de ce qui me correspondrait. Il me manque beaucoup de savoir à acquérir et un cursus en école m’apporterait ce que je recherche. Le jeu en groupe et le réseau de connaissance viendra naturellement par la suite mais pour y arriver il faut que je puisse me sentir "compétent" dans ce que je fais.
C’est pour ca que j’evoquais l’idée de prendre des cours en parallèle.
Bonjour à tous,
@ Nellaleska. C’est une drôle de coïncidence.
Justement je suis à la recherche d’un financement (père au foyer) pour le cursus professionnel de guitariste en musiques actuelles chez ATLA (640 heures). Le test et l’entretien que j’ai passé m’a permis d’évaluer mes lacunes dans ma créativité, dans ma technicité et dans ma démarche. Mes limites d’autodidactes m’empêchent (à raison +- de 6h/jour et je joue dans un groupe) d’avancer et de m’émanciper musicalement, bref je tourne en rond.
J’ai trouvé le contact plus sympa chez eux que au CFPM; www.cfpmfrance.com
Il ne faut rien attendre d’une école de musique.
Usine à illusions et rèves, elles ne sont là que pour tendre la main et prendre le pognon.
J’ai joué avec des élève du CIM et de L’American School of Modern Music. Ils sont assez bons,mais moi qui n’est jamais fait d’école professionnelle autre que le Conservatoire Régional, je les suivais à l’aise .Le talent, cela ne se fabrique pas, c’est en toi, et un jour disons tôt ou tard il émerge.
J’ai vu un post qui fait la promotion dune formation d’ Ableton...
Ce logiciel: c’est de la merde.C’est un logiciel qui ne sert qu’aux nuls qui ne savent pas jouer, et qui vont fabriquer un morceau en raccommodant tout azimuts avec des machines à rythme sample etc...même un type qui ne connais rien à la musique peut sortir un truc pour lui agacer les oreilles.
La musique c’est pas des macchines
Les seuls musiciens interprète"s, auteurs ou compositeurs qui s’et sortent bien ( cela veut dire qui gagnnte confortablement leura vie en ayant une confortable avance en terme de gain et d’économie) n’ont pas faits de formation.
Ouvre les yeux, et informe toi sur les carrières de Miles, Wes, Claude François, Johnny, Gainsbourg....On est bien d’accord: ils n’ont pas fait d’école...
RIEN à AJOUTER
C’est peut-être un peu radical comme point de vue, mais je serais curieux de connaître le pourcentage d’anciens élèves de ces écoles de musique qui sont ensuite devenus des musiciens professionnels, sans être des grandes stars pour autant, mais au moins gagner correctement leur vie.
Merci pour vos réponses, EF2M à Tourcoing pourquoi pas mais si je peux éviter cette ville. J’y suis né et y ai vécu pas mal de temps.
J’ai passé 15 ans de ma vie dans cette école sans le moindre souci. C’est clair qu’il y a des coins qui craignent méchamment, mais ça n’a jamais posé de problème, ça s’est toujours bien passé pour les élèves qui fréquentent et s’installent là-bas. Si c’est une question de météo, t’as aussi l’EF2M Marseille, dirigée par Cyril Achard. Il a une approche un peu plus jazz, mais le contenu pédagogique est quasiment le même, avec pas mal de scène, et les master class communes avec l’EF2M Tourcoing.
Dans les écoles qui jouissent d’une très bonne réputation et d’un bon réseau d’anciens, tu as Tous en Scène à Tours, le CIAM à Bordeaux et l’IMFP à Bordeaux.
Pour la MAI, je pense quand même que ça vaudrait le coup que tu prennes contact en direct pour discuter de ton projet et de la pertinence d’un séjour chez eux ou non. D’expérience, les élèves qui passent les auditions de ce genre de formation on rarement une juste idée de leur niveau. Une bonne part se sous-estime largement, une autre se croit déjà arrivée (et c’est généralement très compliqué lorsqu’ils le réalisent car ça vire souvent au déni et au rejet). Crois-moi, ce sont les formateurs ou les anciens élèves de ces écoles qui sont capables de te dire si tu as le niveau ou pas pour y entrer.
La philosophie de l’école peut varier bien sûr, mais la plupart sont réalistes : un musicien professionnel est d’abord et avant tout un musicien fiable (sur le jeu et le comportement). On ne vit pas du shred (sauf à l’enseigner ou très rares exceptions) et les écoles qui le mettent en avant le font surtout parce que c’est un moyen d’attirer un certain public, la part la plus importante de la demande de formation étant pour la classe de guitare. C’est un peu le fond de roulement économique de ces écoles, dont aucune n’est subventionnée par l’Etat.
C’est peut-être un peu radical comme point de vue, mais je serais curieux de connaître le pourcentage d’anciens élèves de ces écoles de musique qui sont ensuite devenus des musiciens professionnels, sans être des grandes stars pour autant, mais au moins gagner correctement leur vie.
Je pense que ça dépend pas mal des écoles aussi, mais statistiquement, c’est souvent au-dessus des Conservatoires (5%), même si la comparaison est plus compliquée que ça. J’ai vu sur certaines promos (récentes) des placements dépassant les 60%. Maintenant, ça inclue tout le secteur musical. Il y a des profs, des vendeurs d’instruments, mais aussi pas mal de zicos qui tournent et enseignent également, comme l’écrasante majorité des professionnels de l’art. Je sais bien que la plupart de ces écoles ont des images de pompe à fric cyniques. Mais la réalité est qu’il est dans leur intérêt que leurs élèves bossent. D’abord parce que c’est un critère pour pouvoir faire financer des formations par divers organismes (notamment Conseils Régionaux), et bientôt pour la réforme "couperet" qui fera le tri dans les formations qui conduisent ou pas au retour à l’emploi.
Et puis parce que ça atteste de la qualité de la formation plus que n’importe quel diplôme, certification ou autre document bidon, et que ça permet de constituer un réseau qui permettra de faire bosser les prochains. Le taux de placement de l’école pour laquelle j’ai bossé a augmenté de façon exponentielle. C’était compliqué pour les premiers, ça a commencé à s’ouvrir un peu au bout de 5 ans, mais au bout de 20 ans, c’est presque le jour et la nuit. Il y a un réseau, des mjc ou des MJC qui appellent pour recruter des profs, surtout beaucoup d’infos sur le secteur qui permettent d’orienter les élèves.
Franchement, si devenir musicien pro est toujours compliqué, fréquenter ce genre d’école aide quand-même, à se bâtir un début de réseau quand on n’a jamais fréquenté ce milieu, à avoir le socle de compétences et de réflexes pros requis pour prétendre être payé, plutôt que de l’apprendre sur le tas (avec le risque de se griller pour qui ne percuterait pas suffisamment vite).
(Debut de l’aparté)
Bartok, ton propos sur ableton (qui regroupe les daw de maniere général) est vraiment nul.
C’est vrai qu’en tant que musicien qui adore la théorie etc ça peut me faire chier que des mecs qui ne connaissent rien à la "science" musicale puissent parfois gagner leur vie avec leur production. Cependants ces personnes qui composent depuis ce type de logiciel le font à l’oreille.
Tu crache sur des gens qui font de la musique à l’oreille, c’est un peu une conception de la musique totalement élitistes que tu as là.
Après… je commence à te cerner...
(Fin de l’aparté)
Quand à ce que dit le te taz je pense qu’il a raison et être dans une école te metttera à 100pourcent dans le travail de la musique.
Il n’existe qu’une seule école de musique reconnue par l’état: le conservatoire.
Pour le reste, je peux te proposer une formation d’astronaute ou d’agent secret qui pourra même être financée par le FPSPP du moment que tu n’est plus dans les stats du chômage.
Devenir musicien pro en dehors de la balloche, des cours et des orchestres, c’est strictement du réseau.
moi qui n’est jamais fait d’école
La musique c’est pas des machines
SI.
Hello,
Pour rebondir sur les exemples que tu cites, il ne faut pas oublier que Gainsbourg avait une bonne culture en musique classique. Son père était pianiste, donc il a baigné dans le milieu musical dès son enfance. ça vaut une bonne école.
Quant à Johnny et Cloclo, c’étaient plus des interprètes que de grands musiciens.
Après, il y a des autodidactes qui ont réussi, comme Jimi Hendrix, mais bon, c’est plus un génie qui a contribué à créer ou à populariser de nouveaux sons et de nouvelles techniques qui sont aujourd’hui enseignés.
Enfin, on n’est plus à la même époque et pratiquement tout a déjà été inventé, c’est pourquoi un bon CV, ça n’est pas négligeable, ne serait-ce que pour une question de reconnaissance...
Devenir musicien pro en dehors de la balloche, des cours et des orchestres, c’est strictement du réseau
Ouais, ben si t’es plutôt moyen côté boulot, si t’as pas les compétences minimales, tu n’y restes pas longtemps, dans le réseau. Même pour faire du baloche, de l’orchestre ou des cours.
Ahah tu cite des musiciens et chanteurs qui ont percé il y a 60/70 ans pour les plus récents.
On est en 2018 mec.
Je suis d’accord avec toi sur le fait que l’école de musique ne sera pas magique, c’est avant tout ton travail, ta curiosité, ta culture qui feront beaucoup de choses, l’école apportera des outils supplémentaires pour t’aider.
Quand a ableton, non je ne suis pas d’accord, ça demande des compétences pour en tirer quelque chose de bien, perso, je pense me débrouiller pas trop mal avec une guitare, j’ai des compétences en son mais pour avoir essayé, j’ai jamais sorti une crea qui sonne pas cheap avec des machines et ableton.
Je pense que tu dis ça car tu n’as pas une culture électro.
D’expérience, les élèves qui passent les auditions de ce genre de formation on rarement une juste idée de leur niveau. Une bonne part se sous-estime largement, une autre se croit déjà arrivée
je confirme, après 38 ans de pratique musicale, je me sent souvent nul. Très dur d’évaluer son niveau...et par rapport à qui et à quoi?
c’est un peu aussi le yoyo à la bipolaire/maniaco-dépressif ou tu te crois "bon" un jour, ou plusieurs, jusqu’à ce que tu te prennes une claque monumentale, et là pour le coup tu te sent vraiment mauvais.
prendre des cours est toujours bon: on a toujours à apprendre, il faut sans cesse se remettre en cause. C’est le seul moyen d’avancer m^me si tu as l’impression de faire du sur place, tourner en rond: le jour ou tu prend le temps de faire une pause en te retournant sur le chemin parcouru, là tu vois que tu n’as pas tourné en rond.
j’ai pris régulièrement des cours pendant 30 ans, en ne les bossant pas beaucoup je l’avoue, et si j’ai arrété les cours c’est que je n’ai pas le temps de cumuler suivi d’un cours et jouer en groupe (et pis faut bien se lancer un jour!).
Si vraiment tu veux te lancer "pro", le fait de faire la démarche de t’inscrire dans ce genre de structure, et "payer" par un investissement financier non négligeable te permettras surement de mettre tes pieds dans les "starting block" pour plusieurs raisons:
Déjà par un investissement financier, ne pas rester dans l’attente, la passivité et "l’assistanat"...cela fait un peu démarche "auto-entrepreneur", mais cela représente une prise de risque comme se mettre à son compte, et le risque de perdre cet investissement en se retrouvant à poil et retour au "taf" par n’importe quel moyen et n’importe quel boulot (de préférence le plus merdique et le plus mal payé; ce sont les boulots que l’on trouve le + facilement) car tu n’as + un rond.
d’autre part, pendant tous le temps de la formation, tu n’as que cela à penser (à part si tu bosses chez mac do le soir) donc l’esprit plus libre.
c’est donc avant tout une mise en condition psychologique.
ensuite, pour se construire un réseau, il faut aller aux contacts des gens, et quoi de mieux qu’une école, si en plus cette école met en place des "concerts" pour ses élèves avec tous ce que cela implique en termes de démarches communes, prises de contacts (lieux,; personnes à contacter, aspects techniques d’installations de scènes ou démarches ) pour acquérir des "automatismes" de démarchages (administratifs ou savoir se vendre).
Il n’y a pas que l’aspect "technique et théorique" de la musique. Ensuite trouver les bons "gars" pour jouer ensemble, c’est le parcours du combattant, et quand tu es dans un vivier c’est surement plus facile que 3615 Ulla par les petites annonces zikinf, easyzic ou autre ou tu ne sais pas sur qui tu tombes, bon, pas bon, mytho, superbon qui s’emmerde avec vous, chanteur lyrique alors que tu fais du punk, Satriani qui te fait du monologue en solo en écoutant que lui, etc, etc.....
Bon, je ne parles m^me pas de tous ce qui est enregistrement et studio: je suis une quiche!
Et ça, le "conservatoire" ne l’enseigne pas.
après, quand tu as quelques bagages dans ta besaces, de quoi franchir les 3 premières marches des 1000M qui suivent, il faut continuer à mettre un pied devant l’autre.
Saintgermain, te donne une vison réelle du milieu de la musique, où pour conclure en quelques mots, il te faut bien comprendre que la musique c’est comme une entreprise dont la pérennité dépend d’ un réseau de contacts tant pour la clientèle que les associés qui doivent t’accompagner et être fiables pour mener ton projet.Il te faut un potentiel de départ, qui te permette de répondre immédiatement à des opportunités .C’est à dire quelques contacts avec des musiciens, quelques dates, et de la matière musicale prête à être exploitée ( un répertoire avec des maquettes déjà écoutables) .Le projet d école, c’est juste pour te perfectionner.Mon point de vue diffère de Saint germain, car pour moi les contacts dans les écoles, aussi nombreux soient ils ne sont pas des ressources efficaces et prêtes pour répondre à des projets d’envergure.
Si tu dois apprendre et construire avant de te lancer, alors c’est l’échec, avec la douche froide qui te remet les idées en place.
Si tu es salarié .Essaie un temps partiel qui t’offre des disponibilités pour ton projet et te garantisse des ressources financières en même temps.
Les conseils que je te donne, découlent de mon expérience vécue.En gros voici mon parcours.
Etude de la musique( pratique de la clarinette) en conservatoire régional de 13 à 20 ans. Échec dans ma scolarité.J’entre chez France Telecom par concours avec un statut de fonctionnaire, étudie pendant cette période la guitare jazz. Fonctionnaire jusqu’en 1989, je démissionne de France Telecom (bien avant le plan NEXT, et sans aucun regret d’avoir fait ce choix) et me lance dans les concerts de jazz.Je démarre avec un réseau étendu dans la région Nantaise, avec des adresses de salle de concert et un associé fiable (bien qu’il ait des addictions à l’alcool) Après trois mois de préparation d’un répertoire jazz, c’est 6 mois de concerts non stop en province.Je m’installe à Paris en 1990, Là, sans réseau, c’est l’échec.Je trouve facilement à Paris des petits boulots, jusqu’ à en trouver un très attractif dans les éditions musicales pour y rester pendant 10 ans,Pendant cette période, j’apprend la flûte traversière, l’analyse et l’arrangement et j’étends mes compétences instrumentales à la pratique de la trompette. Alternance de périodes de chômage et d’emploi, et parallèlement je tourne en big bang aux instruments à vent, et dans une formation de musique Irish trad à la flûte, en petite formation à la guitare jazz et accompagne des chanteuses jazz en duo, et donne des cours de musique .Depuis 2007, j’ai repris une activité professionnelle à temps plein (39h/semaine), je me forme sur mes heures extra professionnelles à la réparation et facture instrumentale sur guitare et cuivres.J’approche maintenant de l’age de la retraite en continuant la musique, en participant régulièrement à des jams, en donnant concerts jazz en club… et me perfectionne encore dans tous les domaines découverts, ( des détails qui ont leur réelle importance, j’ai élevé 3 enfants, et vécu avec une compagne qui m’a soutenu dans mes choix).Je compte développer une activité complémentaire pendant ma retraite de réparation d’instruments de musique.
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