Pour la peine, je rajoute Angela Gossow, comme ça on a le tiercé gagnant des brontosaures.
Et @TOJJ, son premier cri devrait répondre à ton questionnement érotico-mystique
Chez CSNY il y avait 3 compositeurs (CSY) et un faiseur de soupe.
Il y avait un gratteux, un chanteur, un Canadien et un Anglais.
Le gratteux
une vidéo enregistrée en 2008, désolé pour le son. C’était l’adieu d’Imiko et de son frère à Magma.
Bon, rien à voir.
Pas tout compris moonshiner, mais c’est pas grave, ça arrive souvent dans ce topic, qui retransmet nos émotions du moment, pas tout le temps captées par les autres…
(Après tout, on est dans le Zinc, hein? )
Sur Dailymotion, 182 vues en 9 ans, pratiquement perdue. Je la remets sur YT, ça vient.
Voilà ! Tout neuf !
J’avais écrit à Seventh Records pour savoir ce que c’était que ce titre et où on pouvait le trouver. A l’époque on m’avait aimablement répondu que ça n’avait pas encore été enregistré. Je pense que cette prise est unique… pas top question son, mais unique .
C’était le dernier titre (rappel). Les enfants Paganotti quittaient définitivement Magma et Vander était comme d’hab possédé par sa musique.
Désolé pour la brièveté de l’extrait.
Joe Stump doit être le seul mec au monde à avoir plus de bootlegs de Ritchie Blackmore que moi (encore qu’Olaf Lenk d’At Vance soit un compétiteur sérieux ^^)
L’oreille du fan identifiera aisément quelques licks de Ritchie version Purple ou Rainbow (Death Alley Driver, Burn, Highway star entre autres)
et en bonus, un morceau ouvertement inspiré de Gates of Babylon, y compris quelques mesures du solo original
Le Canadien, également compositeur, accessoirement chanteur et guitariste à ses heures, avec un style qui lui est propre.
Même Warren Haynes ne fait pas mieux que lui :
Blackberry smoke vieux groupe des années 70’s ? Non pas du tout début 2000...
J’aime pas trop le look du chanteur mais j’aime bien sa voix.
Oui je sais je suis dans ma période folk rock/country rock sudiste… c’est mal docteur ?
Neil Young en live, c’est quelque chose…
J’ai eu la chance de le voir, à l’époque de Rust never sleeps… Il y avait du son !
@zebilehowski : Oh ça j’imagine. Ça devait envoyer !
Dans un autre genre, mais qui envoie aussi en live…
Salut,
Dans une interview à je ne sais plus quel canard Josh Homme avait dit que QOTSA c’était de la musique à écouter en tongues alors comme c’est le cœur de l’été...
TOJJ
PS : je trouve qu’il y a une vraie recherche sur le son dans la musique de ce mec et de ses potes, que cela soit sur le son de guitare mais aussi sur les voix. Bref.
Dans un autre genre, mais qui envoie aussi en live…
Le premier riff et son son de guitare font penser à un truc du Black Rebel Motorcycle Club.
Une petite pensée pour un chat sauvage qui s’est égaré (mais pas perdu j’espère )
Comprenne qui pourra....
Excellents Stray Cats.
Il y a un type à droite à 3’23’’ qui a la main baladeuse mais pas d’accord la nana.
Connaissais pas Savages,
snip
Scoop exclusif en avant-première mondiale !
Le tube de l’été 2017
Réinterprété par les duettistes Kim & Donald.
( a.k.a : Jong-Un & Trump )
Ca va faire un malheur !
Unique représentation.
Venez nombreux.
Repartez pour un monde meilleur.
avec le petit monologue de Jarvic Cocker de Pulp.
J’ai beaucoup accroché à tout son dernier album et je l’ai vue lundi en concert à Bruxelles, très sympa car malgré qu’elle soit plus à l’aise dans les salles plus petites et intimes, elle s’en est pas mal tiré sur une grosse scène en plein air.
C’est peut être vraiment pas sa meilleure mais cela permettra à certains de découvrir cet artiste qui pour moi (et dans sa catégorie musicale ).....EST UNE MACHINE
Un peu de british hard blues pour réveiller le samedi aprème.
Cozy Powell, Frankie Aiello au micro, le gratteux de Procol Harum, et Felix Pappalardi à la prod, on peut pas trouver mieux
Ouch ! Ça décolle le papier-peint !
.
Il y a une vingtaine d’années, j’avais une voisine du dessus, prénommée Annick, très charmante (pour ne pas dire franchement avenante), mais hélas atteinte d’une perversion du goût incurable : elle vouait un culte à Gilbert Montagné. Le lundi, qui était son jour de repos, était aussi son jour de ménage, et dès 9h du matin, hop le best-of du Gilbert en 18 titres, à donf; et si la galette se terminait avant le coup de chiffon final, hop replay
Après une période de souffrance sans nom, j’ai trouvé le remède : The Angel and the Dark River de My Dying Bride, encore plus fort qu’elle.
La première fois, j’ai cru qu’elle s’était défenestrée, à cause du silence de plomb qui a suivi. Mais non, elle était bien vivante, juste stoppée net dans son élan variétoménager.
Du coup, c’est devenu mon disque du lundi, pendant un bon moment
À chacun sa perversion musicale !
Plus sérieusement, c’est le problème (trop) fréquent des gens qui n’ont pas conscience du bruit qu’ils génèrent et/ou qui se fichent complètement de ce qu’ils font subir à leur voisinage. Et je ne parle pas là que de musique, bien sûr.
Pappalardi à la basse aussi je suppose.
- C’est quoi qu’on joue ?
-Tee dip tee dip tedi tedi tedi tee dip !
-?????...Ah ok !
Autrement sur ma platine c’est Rïah Sahïltaahk à donf!
C’est assez étonnant de se rendre compte que Rory ne connaissait pas Politician avant ce soir-là, d’autant que les trajectoires de Cream et Taste ont dû se croiser souvent à cette époque
Ben oui c’est un peu étonnant mais il y avait pas mal de groupes dans cette mouvance et puis chacun bossant dans son coin… En tous cas ils ont l’air de bien s’entendre et de prendre du plaisir. On a quand même ici la crème (sans jeu de mots ) de la basse et un guitariste qu’Hendrix appréciait.
De mémoire
interviewer : quel effet ça fait d’être le meilleur guitariste du monde ?
Hendrix: Je sais pas, demandez à Rory Gallagher….
’Tain, t’as une sale gueule ! T’as consulté?
Sur mon lecteur (platine) puisque c’est le sujet, actuellement Slag Tanz. Après MDK et Rîah.… une bien bonne soirée. La zik c’est bien mais avec le son c’est mieux.
Excellent ! Et vraiment intéressant de voir un regard différent sur ce morceau.
C’est parti pour un petit "Frampton Comes Alive". Je découvre ce mec (et oui, ilm’a fallu du temps) et bien c’est franchement bon.
le spécialiste de l’ethylotest...bonne écoute
Si vous avez moins de 30 (pour ne pas dire 40) ans et que le power façon Edguy/Gamma Ray est un truc pour vieux métalleux à bedaine, ce qui suit ne vous intéressera pas beaucoup.
Pour les autres, s’il y en a, le petit dernier d’Unleash The Archers.
3 bonnes raisons de le regarder :
1) Un playthrough est toujours beaucoup plus intéressant qu’une vidéo "scénarisée" avec un budget de 150 balles.
2) C’est Brittney Slayes derrière le micro
3) C’est Brittney Slayes derrière le micro
Par moments, on dirait Daniel Heiman à l’époque de Lost Horizon. Autrement dit, pas Mylène Farmer, quoi
celui là est ambigu mais friendly avec… (mettez ce que vous voulez dans les petits points tant que çà ne rentre pâs en conflit d’interet avec…, et… ou encore… )
allez TOUS vous....…. ..… ..… .. .. ..… ..…. ..… .….
J’enterrais un vieux copain, qui a choisi de tirer sa révérence à la médiocrité moderne en allant silencieusement se pendre dans la salle de bain d’une chambre d’hôtel anonyme au fin fond de la Normandie.
Je chantais en moi-même ces mots, comme je savais qu’il l’aurait fait pour moi; du moins, je croyais que c’était en moi-même, jusqu’à ce que je me rende compte que les copains autour chantaient en même temps. Du coup, l’espèce de boule de billard logée dans ma gorge depuis un moment a fait un peu de place, assez pour que j’aille au bout.
Il faisait froid ce jour-là, et tout le monde était moche. Ou l’inverse, peut-être. Sauf ce moment-là.
Salut,
Ils le passent parfois sur Nova mais jamais en entier les bâtards.
Je les aime bien quand même...
TOJJ
J’adore ! Comme tout ce qui est sur cet album, Wired, et sur le précédent, Blow By Blow. En même temps, mon avatar trahissait déjà ce fait.
Il s’agit bien d’un album, même si là c’est for your eyes et qu’il faut prendre un peu de recul.
C’est même impressionnant de voir à quel point le cerveau semble recréer des détails qui sont pourtant absents. Quelqu’un a-t-il un exemple de ce genre d’effet, mais appliqué à la musique ?
On le fait sans arrêt, en réalité, surtout ceux qui sont musiciens ou ont simplement l’oreille exercée.
C’est ce qui te permet d’identifier un morceau qu’écoute ton voisin de palier à un volume civilement décent, si bien que tu n’entends par exemple que la ligne de basse; mais si tu connais le morceau, ton cerveau fait appel aux souvenirs, rajoute les autres instruments, la mélodie et reconstitue tout le jambon à partir de l’os.
Un mélomane averti, ou un musicien, c’est une table de mixage, il entend à la fois en synthétique et en analytique. En plus de mémoriser le morceau, on enregistre, spontanément ou volontairement, les différents instruments. Et parfois sous ta douche, tu te retrouves à fredonner non pas la mélodie principale d’un morceau mais le solo de guitare, les chœurs ou un lever de batterie pendant que ton cerveau fait le pbo
Ça rend même zinzin parfois, quand tu as un minuscule bout de musique orphelin en tête, un changement d’accord, deux mots dans un refrain, un roulement de batterie, et que tu essaies désespérément d’élargir ta base de quelques secondes avant ou après ton unique extrait, retrouver un peu de contexte qui va replacer le petit bout dans un tout. Là, on ne parle même plus de recréer des détails manquants, mais de reconstituer le tout à partir d’un seul détail. Avoir le puzzle à partir d’une pièce. Ça peut prendre des heures, pendant que ton cerveau en arrière-plan envoie des requêtes vers cette énorme bdd remplie de milliers de chansons. Et finit par trouver. C’est plutôt un bel outil
Elend, la nuit, au casque et dans l’obscurité. Ça passe de magnifique à sublime.
Le seul exemple que je connaisse d’un groupe, d’un ensemble plutôt, chroniqué à la fois sur France-Musique et Metal-archives.
J’entends d’ailleurs plus de métal dans cette musique qui n’a pas une note de guitare que dans les beuglements hardcore de notre troll de l’autre jour. Question de sensibilité.
Nathalie Barbary : Soprano
Eve-Gabrielle Siskind : Soprano
C’est intéressant ce que tu dis là. Seulement, je ne crois pas qu’on parle de la même chose.
Perso je parlais de morceaux de musique volontairement conçus, dès leur création, avant même leur interprétation, justement dans le but de déclencher dans la perception de l’auditeur l’équivalent de certaines illusions d’optique. Quelque chose qu’on perçoit « comme en un miroir, obscurément » et qui nous surprend parce-qu’on ne peut pas tout de suite en saisir exactement les limites, les articulations, l’architecture, la construction.
Pour prendre quelques exemples à la portée de mes maigres connaissances :
- Certaines fugues de Bach où plusieurs mélodies, qui pourraient être chacune à elle seule un morceau à part entière, s’entremêlent ensemble pour former un tout cohérent. Et qu’on ne peut écouter, que soit l’une d’entre elle, que soit l’ensemble comme un tout, mais sans arriver à faire les deux à la fois. Un peu comme cette image noir & blanc de la silhouette de deux visages vus de profil et qui se font face, qu’on perçoit soit comme deux visages, soit comme un chandelier, suivant que le cerveau choisit le noir ou le blanc comme arrière-plan ou comme avant-plan. Et il ne peut pas choisir les deux à la fois.
- Ou encore, toujours chez Bach, ce morceau où les notes montent la gamme mais en se repliant sur elles-mêmes à l’octave, et reviennent ’au début’ sans transition immédiatement clairement perceptible. Et ceci peut continuer à l’infini sans jamais atteindre une limite infranchissable. Comme une trajectoire sur la surface d’une sphère, ou celle d’un attracteur étrange, ou un objet fractal, ou un ruban de Möbius, ou une bouteille de Klein. Une façon de faire tenir l’infini dans le fini.
- Ou encore, un bruit blanc qui contient toutes les fréquences, dont l’amplitude et la phase changent continuellement, sans aucune structure mélodique ni rythmique. Le cerveau ne peut saisir l’ensemble complet, est contraint à ne résoudre que certaines parties seulement, en se comportant comme un filtre. Suivant notre ’état d’âme’ du moment on percevra certaines choses, et lors d’une autre écoute, certaines autres. Mais où se situe exactement ce ’choix involontaire’, sinon dans notre inconscient ? C’est comme une façon de faire remonter des éléments cachés vers la surface.
Et effectivement c’est au cerveau de se démerder avec tout ça. Ce qui au passage nous donne une information précieuse et très souvent surprenante sur son fonctionnement.
Mais je ne pense pas que le cerveau soit un outil. Un outil est un moyen d’action physique de l’esprit, c’est le cerveau qui utilise l’outil : si le cerveau lui-même est un outil, alors par qui ou par quoi est-il utilisé ?
« Γνῶθι σεαυτόν », oui, mais c’est plus facile à dire qu’à faire;
alors on s’en débarrasse avec un « Graeca sunt, non leguntur »…
Skunk Anansie en live acoustique, où la voix de la charismatique Skin est particulièrement magnifiée sur leurs compositions sobrement réinterprétées. Un régal absolu.
je ne pense pas que le cerveau soit un outil. Un outil est un moyen d’action physique de l’esprit, c’est le cerveau qui utilise l’outil : si le cerveau lui-même est un outil, alors par qui ou par quoi est-il utilisé ?
Eh bien, on peut penser par exemple qu’il est à la fois sujet et objet, qu’il est son propre outil, comme une AI post-singularité, fonctionnel et conscient de son fonctionnement, apte à interagir, s’autoréparer, à la fois le marteau, la main et l’auteur de l’acte.
Ou bien c’est effectivement un outil, un énorme pc complet avec son cpu ultrapuissant, son OS si complexe que l’utilisateur n’en utilise consciemment que les fonctions de surface et les applis basiques. Et son admin sera… l’essence. La conscience. L’âme ? Le principe vital. Bref. Quelque chose d’irréductible à la biologie ou aux ondes alpha, et qui anime (je choisis le mot à dessein), qui pilote tout ça.
Je ne suis pas sûr qu’on soit au bon endroit pour des spéculations métaphysiques, cela dit
Et tu as raison, on ne parlait pas de la même chose, je le comprends en lisant ta réponse. Je vais demander à mon outil concepteur et cognitif d’y penser
Cela mériterait effectivement un sujet à part entière, c’est suffisamment intéressant pour en ouvrir un, en tout cas !
Le sujet qui est à la racine de ces conversations, c’est bien la musique
Je trouve très réducteur de comparer le cerveau à une sorte d’ordinateur, ou à une sorte d’IA. C’est comme comparer un génome avec un code barre. Ces images sont simples à saisir et frappent l’imagination (les journalistes aiment beaucoup ça) mais sont terriblement trompeuses. Les extrapolations qu’on peut construire en se basant sur ces images sont beaucoup plus souvent fausses que vraies.
Une machine hardware construite par l’Homme exécute des softwares (qui peuvent eux-mêmes générer d’autres softwares, et même simuler du hardware) qui sont à la base tous deux construits par l’Homme : ils ne se sont pas crées eux-mêmes ex nihilo. Une machine peut construire une autre machine, mais pas sans son schéma de construction, qui à l’origine est conçu, testé, validé, fourni par l’Homme. Sinon on aboutit à une régression infinie.
Le jour où on assemblera un logiciel capable de simuler les milliards de neurones d’un cerveau Humain, il restera encore à les câbler. Mais il n’y a pas deux cerveaux Humains qui soient câblés de la même façon. Et la combinatoire du nombre de connections possibles donne des nombres largement plus qu’astronomiques. Et même alors, ce ne sera toujours qu’une boite vide : aucun vécu, aucune mémoire, aucun savoir. Il faudrait l’éduquer, le faire vivre, alors qu’il n’est pas vivant (c’est une machine) Bref il faudra lui fourrer des trucs "dans la tête", ces choix ne sont pas triviaux ni innocents, et on aboutira à un automate, un imitateur, un imposteur involontaire. Les prédictions si optimistes des chercheurs en IA restent toujours des promesses sur l’avenir (il faut bien s’assurer des financements) Même si elle n’ose avouer son origine, cette quête est celle du rêve qu’a l’Homme, imiter son supposé Créateur originel.
Le cerveau peut (à la limite, et encore !) être comparé à une sorte de hardware, mais dont les connexions câblées peuvent elles-mêmes changer dynamiquement. Comme si un logiciel pouvait modifier les circuits électroniques de l’ordinateur sur lequel il s’exécute. On a alors un système dynamique qui agit dans les deux sens à la fois. Et on a pas connaissance du méta-logiciel qui en est à l’origine, on ne sait même pas s’il existe, ou s’il en a existé un. Si c’était le cas, alors on quitterait le terrain des sciences & technologies pour entrer dans celui de la religion (qui est un terrain miné)
En biologie moléculaire on connait l’ADN, les ARN, les protéines, et le code génétique, qui est très simple. L’ADN décrit les règles de construction des protéines, mais les protéines sont capables de modifier l’ADN, qui à son tour produira de nouvelles protéines, etc… partant de là, on comprend pourquoi, même en toute connaissance du code génétique, un tel système n’est pas prédictible (au sens déterministe) et même qu’il puisse, en quelque sorte, créer du nouveau (contrairement à un ordinateur ou à une IA)
Et puis, comparer un cerveau (donc par extension implicite, un esprit, voire une âme) à une machine (fût-elle un super-ordinateur massivement parallèle avec un super-soft d’IA) réduit tout individu Humain à une sorte de robot, ouvrant la voie à l’acceptation (pour le pas dire la soumission) de règles supposées meilleures pour lui. Et ça ne sent pas bon du tout.
Tu décris une vision idyllique pour le Médef, là !
Bon, j’ai mal au crâne.
En tout cas il y a à mon sens une chose que les machines ne sont pas près de reproduire : le libre-arbitre. Et c’est tant mieux !
Qu’un ordinateur batte les meilleurs joueurs d’échecs Humains ne signifie pas que cet ordinateur soit plus ’malin’ qu’eux, il emploie juste de la force brute sans intelligence ni feeling.
une chose que les machines ne sont pas près de reproduire : le libre-arbitre.
Oui, c’est un critère. Comme par exemple, la sensibilité, l’affect, etc.
Une machine peut imiter ça, mais pas le ressentir.
Je ne sais pas si tu connais le test de Turing, mais il ne serait pas du tout étonnant
qu’une machine y parvienne, puisqu’il ne s’agit que d’enfumer un interlocuteur Humain
« I know kung-fu ! »
Je voudrais remercier ici les gens de Prikosnovénie pour leur investissement humain constant depuis des années, loin des supports média qui accompagnent bruyamment chaque nouvel album d’une poignée de crétins à bonnet analphabètes et s’esbaudissent de conserve sur l’incroyable profondeur sociologique de "claquettes-chaussettes".
Un peu de faërie pour la nuit.
Un peu de la musique "dark" de ma part
Projet du darkfolk assez intéressant que je ne connaissais pas. Bon OST pour Skyrim:
Nouveau album des Discrets, meilleur shogaze français selon moi:
Pour effacer, gommer, annuler cette grisaille déprimante, cette flotte qui n’arrête pas de tomber, ce froid de novembre qui s’installe, il faut un ailleurs d’une altérité radicale. Et c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes.
Pour aller avec le 11-Novembre, même si ce n’est pas la bonne guerre
Et un coucou à Kobra Paige, aussi impressionnante vocalement que sympathique, avec qui j’ai pu papoter assez longuement lors de leur passage à Toulouse l’an dernier.
J’adore ce Kate Bush !!
Elle a commencé très jeune…
Oui ça aide !
Tout l’album "No parole… " est un pur bonheur, et une assez bonne illustration de ce qu’aurait pu donner Rainbow 2.0 après "Down to Earth" si Bonnet n’avait pas autant tututé la boutanche. Comme le "Live sentence" qui fait partie de la petite poignée d’albums qui squattent mon autoradio à l’année