inventeur qui a changé notre façon d’écouter de la zic
Et aussi d’enregistrer ! Simple et pas cher, alors que pour le grand public ce n’était pas possible.
Oui tourner la bobine d’une K7 avec un stylo bic, on aurait dit que c’était étudié exprès pour ça !
Et le bout de scotch pour réenregistrer par-dessus une K7 non vierge, ou pour recoller une bande cassée …
Et la découverte que chaque "côté" ayant 2 pistes (pour la stéréo) une K7 est en fait une bande 4 pistes.
Et sur le circuit imprimé, le petit ajustable qui réglait la vitesse du moteur. En diminuant la vitesse on perdait en bande passante mais on augmentait la durée des cassettes vierges. On pouvait passer d’une vitesse à l’autre, changer le son d’une voix, transposer le spectre vers les graves ou les aigus. Etc …
De véritables boites à outils ces mini K7. Aujourd’hui c’est l’inverse tout est verrouillé.
J’ai entendu ça à la radio, tu as bien fait de lancer le sujet !
Non seulement il créa la cassette mais contribua aussi à la création du CD, il y a des gens comme ça qui méritent d’être félicités pour leur contribution. À l’humble niveau de mes anecdotes personnelles, les cassettes audio me rappellent mes premiers groupes où chacun apportait sa cassette pour y recopier les titres à bosser, c’était quand même une autre façon faire par rapport à aujourd’hui où il est possible de simplement se les envoyer par le réseau, quand chacun ne se les ai pas procurés directement sur youtube…
De mon côté, je me souviens dans les années 90 quand j’étais ado, j’enregistrais ma guitare avec l’ampli sur le micro de mon poste double K7. Donc fallait mettre le poste pas trop loin de l’ampli pour pas capter trop de room et bien entendre l’ampli (mais pas faire trop saturer le son non plus) ; puis avec une seconde K7 dans le second lecteur du poste ( et en trifouillant un bouton du poste), je repassais ma première prise et J’enregistrais la deuxième par dessus. Et en écoutant ensuite si la guitare était trop forte ou pas assez par rapport à la première, et bien je baissais/montais l’ampli et je recommençais ma prise. Ça m’a occupé de bonnes après-midi et des week end entiers. J’avais même pas les moyens de prendre un multipiste K7 à l’époque mais je me suis démerdé comme pendant 5 ou 6 ans.
toute ma jeunesse, on enregistrait pour préserver les vinyls, mais surtout pour aller à l’école ou après au boulot avec mon Walkman SONY, la grande classe 
EDIT : j’étais parisien, donc en métro...
Au-delà de l’aspect pratique de l’enregistrement perso, la k7 a surtout pu permettre l’echange et la découverte musicale. Pleins de scènes undergrounds sont nées gràce à ça, notamment avec les demos K7.
Quand je pense au nombre d’heures et de jours que j’ai passé ado à dupliquer la demo de mon groupe, quelle galère.. mais de bons souvenirs.
Puis personnellement, la K7 m’a permis d’economiser pleins de pognon sur les jeux Amstrad CPC 464 quand j’etais gamin 😁.
Les jeux etant sur K7, un mercredi après-midi chez un pote et hop le tour etait joué! haha
Bon, ça rajeunit pas de parler de tout ça..
Ouais, c’est vrai que c’était sympa pour le côté pratique, nomade, bidouillages en tous genres.
Mais dés qu’il s’agissait de chercher un son de qualité, même avec une cassette bande métal et utilisation du Dolby, on restait dans un rapport signal bruit assez moyen.
Et je parle même pas des effets de pleurage et de scintillement dus aux diverses tensions exercées sur la bande.
Si on voulait garder un truc propre, c’était matériel de lecture déjà un peu "chèros" et interdiction non négociable de la boîte à gants de la bagnole (encore moins la plage arrière sur la route des vacances 
).
Moi, ce que je regrette c’est le MiniDisc.
J’ai toujours une platine de lecture Sharp avec lecteur CD À 3 étages sur la gauche et lecteur MiniDisc sur la droite.
Et encore 7 ou 8 MiniDiscs vierges toujours sous plastique.
Oui c’est vrai mais il s’agissait d’un matos à diffusion très large donc prix abordable pour le grand public, avec le niveau de qualité qui s’ensuit, pas du matos de qualité pro. Vu la largeur de la bande qui contenait 4 pistes il devait rester un millimètre pour chaque piste, et seulement à 4,75 cm/s.
Effrectivement, j’ai un ami qui a un magnétophone pro à large bande.
Bon, bin là, on s’assied, on la ferme et on écoute
Quand j’y pense, le MiniDisc devait remplacer le CD à l’epoque et avait par la meme occasion signé la mort du lecteur CD portable.
J’avais un SHARP portable et franchement c’etait bien pratique pour s’enregistrer lors des répetitions.
C’etait ambiance « silence, ça tourne! ».
Mais le coût de production etait bien trop cher et le mp3 est venu lui porter le coup de grâce aux yeux du grand public, devenant ensuite un outil n’etant plus qu’utilisé par une niche, tout comme le DAT ou le laser disc en son temps.
Coût et habitudes de consommation ont été les maîtres mots de sa disparition.
Ce qui est marrant aujourd’hui c’est de voir réapparaître la démo K7 chez pas mal de productions indés, tout comme la nostalgie du vintage est réapparue avec le vinyl.
Mais je doute fort que les constructeurs se remettent à produire des lecteurs K7..
Ah… Le mini disc.
Combien de répète j’ai pu enregistrer avec ?!
Faut que je remette la main dessus pour voir si il fonctionne encore.
J’ai même une démo qui avait été enregistrée sur minidisc !
Mais le minidisc c’est du numérique, mécréants !
J’ai une K7 de répètes de mon groupe des 80’s, avec même vers la fin quelques passages d’une première partie qu’on avait fait à la salle des fêtes du bled où l’on habitait … ah là là le voyage dans le temps …
Dans mon atelier je n’ai qu’un lecteur K7, ça fait des années que je bricole en écoutant fatboyslim, van morrison, Jeff Buckley et ray Charles (j’ai pas beaucoup de K7)
Marrant tout le monde parle des bons souvenirs de l’ère K7. Mais putain combien de fois aussi j’aurais passé le poste par la fenêtre (surtout l’autoradio) quand il te bouffait la bande et que tu ressortais un fil d’1m du poste. Si t’avais pas un crayon bic sous la main (pas un crayon rond tout lisse, hein. Mais bien un avec 6 côté sinon ça marche pas 😣) pour rembobiner ta K7 et bien, t’étais obligé de le faire avec le bout du petit doigt, s’il n’était pas trop gros et ça pincait, les crans de la k7 te rentraient dans le doigt, c’était pas du tout agréable.
Ah bah perso, je ne regrette absolument pas sa disparition. gamin combien de fois j’ai rêvé d’avoir un lecteur où je pourrais emporter une bonne partie de ma disco sans me galerer avec ces foutus boites.
Quand je partais en vacances je me souviens qu’il me fallait faire le tri entre celles que je voulais absolument ecouter.
Aucun remord de les avoir bazardées.
Maintenant, oui ça rappelle des souvenirs mais aujourd’hui, surtout pour un usage nomade, les moyens actuels sont quand même à des années lumieres.
sur un simple dd pouvoir m’emmener des centaines d’albums en format flac ou wav, y a pas photo.
Ouais c’est dingue comme la technologie contemporaine est en avance sur celle d’il y a plus de 50 ans.
moi ça m’occupait en cours au lycée, de rembobiner mes k7...
Ha oui les cassettes, mon Kenwood KRC 464 dans la bagnole, les filles, la plage, le soleil et la musique..Que de bons souvenirs 
RIP Monsieur K7
ouais on est vieux quoi...
La même! 
A la différence que je n’avais pas le bouton dont tu parlais, mais mon double cassette déconnait et lorsque je dupliquais une cassette sur une autre, cela n’effaçait pas ce qu’il y avait sur la cassette cible.
La belle aubaine au final! J’ai commencé à enregistrer mes premiers plans comme ça vers 1990.
Par contre, la hauteur était légèrement modifiée et je devais désaccorder ma guitare au petit bonheur la chance pour que les 2 pistes soit accordées ensemble… La bidouille mais qu’est ce que j’ai pu en passer des heures à faire ça! 
Il n’y a pas à regretter le remplacement de la cassette par des moyens bien plus efficaces aujourd’hui, il y a seulement à remercier et rendre hommage à son inventeur pour ce que cela nous apporta à cette époque aujourd’hui révolue.
Oui, tout ce qui permet et a permis de diffuser au plus grand nombre la musique mérite d’être souligné
Je suis quelques fois critique négatif avec les supports dématerialisés d’aujourd’hui, et toujours quelqu’un me rappelle que c’est le moyen le plus simple d’écouter à peu de frais de la musique, bonne ou moins bonne
Avant la K7, c’était vinyles et tout ce que ça implique, notamment en argent et en accès: quand t’étais ado, il fallait les moyens pour s’acheter les galettes et que tes parents soient à la fois équipés et Absents pour les écouter
La K7, assez rapidement à permis d’accéder à un système peu cher et duplicable, donc à davantage de références
Pour les personnes de ma génération, plus de 50 ans, la K7 a été la démocratisation de l’accès à la musique, radio à part
Ce qui a suivi sont des évolutions technologiques, mais la K7 est la première étape
Je suis tout à fait d’accord.
La K7 a permis un accès à la musique sans précedent. Pour ma part, il me fallait economiser un petit moment avant de me procurer tel ou tel disque, et bien souvent je n’avais pas d’autre choix que de copier certains sur k7 chez des potes.
Du coup, ça a permis à un grand nombre de découvrir et d’echanger de la musique, sans quoi il etait difficile lorsqu’on avait des moyens limités ou pas d’equipement.
Pour ma part j’ecoute pas mal de dematérialisé mais uniquement lorsque je bouge.
Je vais ecouter du mp3 ou autre mais je vais acheter les albums que j’apprecie.
C’est un autre rapport à la musique, à l’artiste que l’on ecoute et à ses compos.
Et c’est là malheureusement que les supports dematérialisés sonnent le glas aujourd’hui.
La musique devient pour certains un consommable, le besoin d’immédiateté, on prend, on aime au bout de 15 sec ou on jette.
Je me souviens, lorsque j’achetais mes premiers albums sur K7, la curiosité de découvrir le livret, le layout, et j’ecoutais l’album religieusement dans ma chambre.
Beaucoup parmis les jeunes generations n’ont plus ce rapport à la musique car tout est disponible desormais, immédiatement.
J’avoue que j’achète pas mal d’albums que j’aime en vinyls actuellement car on dispose du matos nécessaire pour la lecture. Je ne prends pas tout non plus car certaines choses je pense n’ont pas besoin d être écouté dans ce format là. En étant un peu caricatural, le vinyl est très représentatif d’une epoque et de certains styles. Des styles actuels ne semblent pas avoir leur place sur ce support et s’écouteront mieux sur CD qui offre malgré tout une qualité d’écoute supérieure au vinyl en gommant toutes les imperfections liées au support mais qui fait aussi le charme de l’écoute sur vinyl. Un exemple et ca n’engage que moi, je me vois mal écouter du Daft Punk en 33T, même si ca existait encore quand le duo a été créé.
Ensuite on peut aussi soulever la question a l’heure du changement climatique de l’empreinte carbone des différents supports. Le MP3 pollue t’il moins sous prétexte que c’est un support dématérialisé ? On sait depuis longtemps que le stockage de notre musique sur nos comptes Deezers, Spotify… nécessite des emplacements sur des serveurs qui ont besoin d’énergie pour fonctionner. Mais cela pollue t’il autant que les objets physiques (CD, K7, vinyls...), là je ne saurai le dire.
Pour moi, les albums vinyles réédités actuels ne valent rien dans le sens où c’est du numérique repiqué...Ou des CD qui s’usent si tu préfères, autant prendre le support numérique CD ou mp3.. C’est juste un effet de mode pour faire de l’argent rien de plus, la qualité n’est pas là ou très rarement.
Par contre les anciens vinyles full analogique réglés aux petits oignons par des ingénieurs son qui avaient encore leurs mots à dire c’est autre chose mais cette époque est révolue
+1 👍
les vinyls qui sortent actuellement ne sont là que pour surfer sur la hype actuelle.
Du numerique porté sur du vinyl, ça n’a aucun interêt. Hormis pour certaines réeditions, comme celles du label Sundaze ou les albums d’hendrix par ex. qui pour la peine ont bénéficié d’un vrai traitement.
On achète surtout l’objet aujourd’hui mais la qualité sonore n’est pas là.
Comme de toutes façons, ils sont plus destinés à faire déco qu’à être écoutés : ce n’est finalement pas très grave 
.
De bons souvenirs de la K7 et des vinyls enregistrés dessus pour ne pas les flinguer mais aussi des playlists enregistrés pour la copine ou les potes...
...en soignant, autant que faire se peut, les jaquettes.
En écrivant ça, il me vient d’ailleurs "High Fidelity" à l’esprit.
Sinon, certains étaient équipés en platines K7 haut de gamme de type "Nakamichi" et la dernière que j’ai possédée (pour justement faire mes playlists à partir de CD) était une "Teac", loin d’être dégueulasse.
Puis sont arrivés les graveurs de CD grand public, autant dire que c’était alors la Grande Epoque des médiathèques musicales.
Parmi mes proches, quelqu’un qui n’ecoute absolulent pas de Jazz, a mis sur son mur de salon « kind of blue » tout simplement parce que c’est branché quoi.
Bon après c’est une edition du pauvre achetée à 5€ chez le marchand de journaux.
"So What" 
.
on nage là, en plein paradoxe...
Il y a eu quelques éditions de 33 tours, où il était inclus aussi un code pour récupérer la version numérique de l’album.
Comme ça fait un bail que je n’en ai pas achetés, je ne sais pas si ça se fait encore ?
c’est toujours le cas, enfin ça dépend des labels, il y en a moins aujourd’hui qui continuent à le faire.
Merci.
Voila qui est cool : de quoi contenter tout le monde (si le master a bien été prévu pour le vinyl).
Ha ha je relis le topic pour le plaisir : quelle nostalgie ! Plein de beaux souvenirs qui reviennent, et les mauvais côtés oubliés 
Mes premières ziziques, c’était sur le magnétophone à cassettes offert par ma mamie. Et franchement, les mauvais côtés, je ne les voyais pas !
Waaah la cassette!
Plein de souvenirs pour moi aussi.
Les cassettes que je rangeais religieusement par ordre chronologique et par artiste, les quêtes des cassettes introuvables dans les magasins de disques parisiens, les échanges entre potes, les émissions de radio que j’enregistrais, mon premier walk man (objet qui s’est avéré vital lors de mon adolescence!)...
Alors oui, le son n’était pas parfait, oui des fois la bande s’emmêlait (les boules quand c’est ta cassette ultra rare dénichée à Londres!) mais je regrette cette époque où la musique c’était aussi un objet concret qu’on chérissait.
C’est sûr, me balader avec 60 GO c’est trop pratique, mais je trouve qu’on a perdu un truc avec la dématérialisation, une dimension qui avait des côtés fort agréables.
Comme pour les jeux : j’aimais bien cette période où on installait le jeu sur le pc, et on pouvait y jouer quand on voulait, sans être forcément connecté…
Bref… c’était avant.
C’est sûr, me balader avec 60 GO c’est trop pratique, mais je trouve qu’on a perdu un truc avec la dématérialisation, une dimension qui avait des côtés fort agréables.
Ca revient un peu à lire un livre en ligne plutôt que d’avoir le bouquin dans les mains. Je crois que c’est pour ça que le vinyl et le CD auront toujours leur place chez moi. J’apprécie d’ouvrir le livret du CD pour voir le travail visuel fourni par l’artiste sur un album, un projet. Quand c’est bien fait, ça fait un tout avec la zic que tu écoutes et tu vois par le son et le visuel là où le gars veut en venir, là où il veut t’emmener.
Et aussi comme un vieil ado, j’aime bien regarder les paroles quand elles y sont. Même si c’est en anglais. En gros, je maîtrise plutôt la langue donc tu vois les thématiques abordées par l’artiste.
