"Et si l’attribut ’poésie’ est suffisant pour être gage de qualité dudit texte ?"
Ben, je ne sais pas, compare, par exemple "Le lundi au soleil" ou "Si j’avais un marteau" de Claude François à "Amsterdam" ou "Quand on n’a que l’amour" ou "Ne me quitte pas" de Brel.
Bonne analyse de textes!
Ben, je ne sais pas, compare, par exemple "Le lundi au soleil" ou "Si j’avais un marteau" de Claude François à "Amsterdam" ou "Quand on n’a que l’amour" ou "Ne me quitte pas" de Brel.
Bonne analyse de textes!
Ma question ne portait pas à comparer de la pisse d’âne à un Bordeaux millésimé.
Mais bon peu importe, ta ’réponse’ laisse posée la question de l’attribut poésie :
Suffit-il à un texte de rimer et d’être une suite d’un même nombre de pieds ?
Ou faut-il aussi que le sujet ait au moins une certaine profondeur ?
Que le texte soit, non pas une simple description au 1er degré,
mais ciselé de fines subilités plus ou moins obscures ?
Que le lecteur doive y mettre du sien pour le découvrir ?
Qu’il en tirera d’autant plus qu’il y aura mis de lui-même ?
Oui, tu as tout compris, la poésie ça n’est pas seulement une question de rimes...
Regarde, "le lundi au soleil" ça rime, et pourtant c’est de la pisse.
Et il y a de la poésie qui ne rime pas, vers libre, prose...
Mais tu sais, même les grands auteurs ont du mal à trouver une définition de la poésie.
J’ai trouvé celle-ci dans un bouquin, qui est pas mal du tout...
C’est de Théodore de banville:
"...cette magie, qui consiste à éveiller des sensations à l’aide d’une combinaison de sons...cette sorcellerie grâce à laquelle des idées nous sont nécessairement communiquées, d’une manière certaine, par des mots qui cependant ne les expriment pas."
Et Verlaine disait dans son "Art poétique":
"De la musique avant toute chose."
Maintenant ressens ces vers de Baudelaire:
"Les sons et les parfums tournent dans l’air du soir ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !"
Après, il y a de la bonne et de la moins bonne poésie, tout ce qui brille n’est pas or...Moi, je fréquente la partie poésie d’un forum littéraire, et c’est rare qu’il y ait des textes postés que je trouve bons.
Je pense que sincèrement, quand tu es en face de la vraie poésie, tu ressens une sorte de charme, d’envoûtement...C’est "beau" tout simplement...
ça nécessite beaucoup de travail, de la technique, mais il y a aussi une histoire de don, de prédisposition...un peu comme Mozart en musique...
Pour moi, "les yeux de ma mère" d’Arno, c’est de la poésie. Pourtant il y parle de l’odeur des aisselles de sa mère, dit que ses pieds puent, etc… Soit.
La "poésie", c’est une affaire de "poète".
La "musique", une affaire de "musicien".
Dans ces 2 domaines, il y a ceux qui "savent", "connaissent", et les autres.
Ton sujet est un puits sans fond, puisque les "élites" vont défendre "la vraie poésie", et les comme moi vont ressentir de la poésie là où grand dieu, il n’y en a pas !!! Ouh, la, la 😂
Vlà mon humble avis.
Pour moi une belle chanson est une poésie… Ou en tous cas les mots chantent.. 💓
Arno, il touche, donc il est un poème à lui tout seul, c’est son essence...
Bon, moi, je ne suis pas fan, mais je comprends sincèrement...
Les Inconnus ont résolu le probleme depuis des lustres :
alors lá tu vois ya le poete, c’est un bon poete, tu sais que cest un poete parce que quand il poete bin c’est un bon poete,
et lá ya le mauvais poete, bon c’est un mauvais poete, quand il poete, ha ha, bin c’est un mauvais poete.
Le mauvais poete, quand il poete, et bien ça pue!
Par exemple : la première chanson que j’ai écrit (accompagnée d’une compo à la gratte)
je devais avoir 14 ou 15 ans, et racontait en rimes comment une nana
dont j’étais amoureux m’avait rendu malheureux par son indifférence.
Le genre de truc qu’on écrit quand on est gamin, quoi.
Après on grandit, ces choses prennent de la profondeur et de la perspective,
heureusement sinon dans la vie l’avenir pourrait difficilement s’ensoleiller.
Voilà un exemple de ce qu’aujourd’hui je n’appellerai pas un poème ni même une chanson.
Alors, sérieusement, personne ?
Pour que ce soit de la poésie, il faut que ce soit imagé, métaphorique et original.
Il ne faut pas que ce soit banal.
Mais attention, il y a de la bonne chanson réaliste, c’est même un genre reconnu.
La poésie c’est plus idéaliste, lyrique, tragique, parfois merveilleux, fantastique, surréaliste...c’est de la littérature!
Pour que ce soit de la poésie, il faut que ce soit imagé, métaphorique et original.
C’est vraiment une définition de la poésie ?
Je demande, j’y connais rien.
Ca ça n’a rien de tout ça. C’est l’ancêtre du notre (votre) pauvre petit Renaud. mais je trouve ça poétique. Bon c’est pas du La Fontaine, OK !
Jasante de la Vieille
Tu ne tueras point.
— « Bonjour, c’est moi,… moi, ta m’man
J’ suis là, d’vant toi au cèmetière.
(Aujord’hui y aura juste un an,
un an passé d’pis… ton affaire.)
Louis ?
Mon petit… m’entends-tu seul’ment ?
T’entends-t’y ta pauv’ moman d’ mère ?
Ta « Vieill’ », comm’ tu disais dans l’ temps.
Ta Vieill’, qu’alle est v’nue aujord’hui
malgré la bouillasse et la puïe,
et malgré qu’ ça soye loin, Ivry.
Alorss… on m’a pas trompée d’ lieu ?
C’est ben ici les « Condamnés » ?
C’est là qu’ t’es d’pis eun’ grande année ?
Mon dieu mon dieu ! Mon dieu mon dieu !
Et où donc ? Où c’est qu’on t’a mis ?
D’ quel côté… dis-moi mon ami ?
C’est plat et c’est nu comm’ la main....
Ya pas eun’ tomb’, pas un bout d’ croix !
Ya rien qui marqu’ ta fosse à toi,
pas un sign’, pas un nom d’ baptême,
et rien non pus pour t’abriter....
(J’ dis pas qu’ tu l’as point mérité
Mais pour eun’ mèr’, c’est dur tout d’ même !)
Louis, tu sais, faut que j’ te confesse ;
De d’pis un an,… d’pis… ton histoire
j’ suis pus tournée qu’aux idées noires
et j’ai l’ cœur rien qu’à la tristesse.
Aussi preusent j’ suis tout’ sangée,
j’ suis blanchie, courbée, ravagée
par la honte et par le tourment ;
si tu pourrais m’ voir à preusent
tu m’ donn’rais pus d’ quatre-vingts ans.
Et pis j’ai eu ben d’ la misère,
(ça m’a fait du tort tu comprends !)
Quand qu’on a su qu’ j’étais ta mère,
j’ai pus trouvé un sou d’ouvrage,
on m’a méprisée dans l’ quartier
et l’a fallu que j’ déménage.
Depis… dans mon nouveau log’ment
j’ vis seule… ej’ peux pas dir’ comment,
comme eun’ dormeuse, eun’ vraie machine ;
j’ cause à personn’ de not’ malheur.
j’ pense à toi et tout l’ jour je pleure,
mêm’ quand que j’ suis à ma cuisine.
L’ matin, ça m’ prend dès que j’ me lève ;
j’ te vois, j’ te caus’… tout haut… souvent,
comm’ si qu’ tu s’rais encor vivant !
J’ mang’ pus… j’ dors pus, tant ça m’ fait deuil
et si des fois j’ peux fermer l’œil,
ça manqu’ pas, tu viens dans mes rêves.
C’te nuit encor… j’ t’ai vu… plein d’ sang,
tu t’nais à deux mains ta pauv’ tête
et tu m’ faisais — « Moman ! Moman ! »
Mais moi… j’ pouais rien pour t’aider,
moi j’étais là à t’arr’garder
et j’ te tendais mon tabellier.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Pens’ Louis, dans l’ temps, quand t’étais p’tit,
qui qu’aurait cru,… qui m’aurait dit
qu’ tu finirais comm’ ça un jour
et qu’ moi… on m’ verrait v’nir ici !
quand t’étais p’tit t’étais si doux !
À c’t’ heur’ j’arr’vois tout not’ passé,
lorsque t’allais su’ tes trois ans
et qu’ ton Pepa m’avait quittée
en m’ laissant tout’ seule à t’él’ver !
Comme ej’ t’aimais, comme on s’aimait,
qu’on était heureux tous les deux,
malgré des fois des moments durs
où y avait rien à la maison.
Comme ej’ t’aimais, comme on s’aimait,
c’était toi ma seul’ distraction,
mon p’tit mari, mon amoureux.
C’est pas vrai, est-c’ pas ? C’est pas vrai
tout c’ qu’on a dit d’ toi au procès ;
su’ les jornaux c’ qu’y avait d’écrit,
ça n’était ben sûr qu’ des ment’ries...
Mon P’tit à moi n’as pas été
si mauvais qu’on l’a raconté !
(Sûr qu’étant môm’, comm’ tous les mômes,
t’étais des fois ben garnement,
mais pour crapule… on peut pas l’ dire !)
T’étais si doux et pis… si beau...
meugnon peut-êt’ mais point chétif,
à caus’ que moi j’ t’avais nourri ;
t’étais râblé, frais et rosé,
t’étais tout blond et tout frisé
comme un amour, comme un Agneau...
(J’ai cor de toi eun’ boucle ed’ tifs
et deux quenott’s comm’ deux grains d’ riz.)
Mon plaisir, c’était l’ soir venu,
avant que d’ te mette au dodo,
De t’ déshabiller tout « entière »,
tant c’était divin d’ te voir nu :
et j’ t’admirais, j’ te cajolais,
j’ te faisais « proutt » dans ton p’tit dos,
et j’ te bisais ton p’tit darrière...
(j’ t’aurais mangé si j’aurais pu)
Et toi… t’étais si caressant
et rusé… et intelligent...
Oh ! intelligent, fallait voir,
pour c’ qui regardait la mémoire
t’apprenais tout c’ que tu voulais...
tu promettais, tu promettais....
J’en ai-t-y passé d’ ces jornées
durant des années, des années,
à turbiner pir’ qu’un carcan
pour gagner not’ pain d’ tous les jours
et d’ quoi te garder à l’école,
et… j’en ai-t-y passé d’ ces nuits,
(toi, dans ton p’tit lit endormi)
à coude auprès de l’abat-jour
jusqu’à la fin de mon pétrole !
Des fois, ça s’ tirait en longueur ;
mes pauv’s z’yeux flanchaient à la peine,
alorss… en bâillant dans ma main
j’écoutais trotter ton p’tit cœur
et souffler ta petite haleine...
(et rien qu’ ça m’ donnait du courage
pour me r’mett’ dar’-dare à l’ouvrage
qu’y m’ fallait livrer le lend’main.)
Que d’ fois j’ai eu les sangs glacés
ces nuits-là… pour la moindre toux ;
j’avais toujours peur pour le croup,
grâce au mauvais air du faubourg
où nous aut’s on est h’entassés.
Ah ! dir’ qu’ t’es là-d’ssous à preusent
par tous les temps qu’y neige ou pleuve !
(Vrai ! Qué crèv’-cœur ! Qué coup d’ couteau !
on m’a ratissé mon château,
on m’a esquinté mon chef-d’œuvre.)
T’ rappell’s-tu, quand tu t’ réveillais,
le croissant chaud, l’ café au lait ?
T’ rappell’s-tu comme ej’ t’habillais ?
Eh ! ben, pis nos sorties l’ Dimanche,
tes beaux p’tits vernis… ta rob’ blanche...
T’étais si fin, si gracieux,
tu faisais tant plaisir aux yeux
qu’on voyait les genss s’arr’tourner
pour te regarder trottiner.
Ah ! en c’ temps-là,… dis mon Petit,
de qui c’est qu’ t’étais la fifille,
l’amour, le trésor, le Soleil !
De qui c’est que t’étais l’ Jésus ?
De ta Vieille est-c’ pas, de ta Vieille ?
Qui faisait tes quatr’ volontés,
qui t’a pourri, qui t’ a gâté,
qui c’est qui n’ t’a jamais battu ?
Et l’année d’ ta fluxion d’ poitrine,
qui t’as soigné, veillé,… guéri ;
c’est-y moi ou ben la voisine ?
Et à présent qu’ te v’là ici
comme un chien crevé, eune ordure,
comme un fumier, eun’ pourriture,
avec la crêm’ des criminels,
Qui c’est qui malgré tout vient t’ voir ?
Qui qui t’esscuse et qui t’ pardonne ?
Qui c’est qu’en est la pus punie ?
C’est ta Vieill’, tu sais, ta fidèle,
ta pauv’ vieill’ loqu’ de Vieill’ vois-tu !
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Mais j’ bavarde, moi, j’us’ ma salive ;
la puïe cess’ pas, la nuit arrive ;
faut que j’ m’en aill’ moi… il est l’heure,
maint’nant c’est si loin où j’ demeure.
Et pis quoi ! Qu’est-c’ que c’est qu’ ce bruit ?
On croirait de quéqu’un qui s’ plaint...
on jur’rait qu’y a quéqu’un qui pleure...
Oh ! Louis, réponds ? C’est p’t-êt’ ben toi
qui t’ fais du chagrin dans la terre !
Seigneur ! Si j’allais cor te voir
comme c’te nuit dans mon cauch’mar !
(Tu vourais point m’ fair’ cett’ frayeur !)
Oh ! Louis, si c’est toi, tiens-toi sage ;
sois mignon… j’arr’viendrai bentôt,
seul’ment, fais dodo, fais dodo,
comme aut’fois dans ton petit lit,
tu sais ben… ton petit lit-cage ?
Chut !… c’est rien qu’ ça… pleur’ pas j’te dis,
fais dodo va… sois sage, sage,
mon pauv’ tout nu… mon malheureux,
Mon petiot, mon petit petiot.
Alors, sérieusement, personne ?
mmh, oui ?
J’en ai mis une au post 4...
Je sais juste que c’est des sons, des images, qui ont du rythme et une musicalité, et qui vont provoquer des sensations comme sous l’effet d’un charme...C’est comme une autre langue, Rimbaud parlait d’alchimie du verbe, le poète se fait voyant et accède à un inconnu par un dérèglement raisonné de tous les sens...Enfin, c’est complexe, il y a des bouquins spécialisés...Le plus dur à comprendre c’est Mallarmé…
Pas de bol, je suis le mal armé de la poésie.
Je suis le mal armé… (sur un air de Cloclo )
Je ne peux pas t’expliquer, c’est trop complexe, il faut en lire pour comprendre...Les préfaces des recueils de poèmes ça aide aussi.
Lire aussi La Fontaine, Racine, Corneille, Shakespeare, les tragédies en vers c’est beau à en mourir...
En anglais, c’est très beau aussi.
Bright Star
John Keats - 1795-1821
Bright star! would I were steadfast as thou art—
Not in lone splendour hung aloft the night,
And watching, with eternal lids apart,
Like Nature’s patient sleepless Eremite,
The moving waters at their priestlike task
Of pure ablution round earth’s human shores,
Or gazing on the new soft fallen mask
Of snow upon the mountains and the moors—
No—yet still steadfast, still unchangeable,
Pillow’d upon my fair love’s ripening breast,
To feel for ever its soft fall and swell,
Awake for ever in a sweet unrest,
Still, still to hear her tender-taken breath,
And so live ever—or else swoon to death.
Tu parles avec autorité !
Bon alors on est d’accord qu’elles ne valent pas grand-chose, les chansons de ce genre ?
"je t’aimais - mais tu ne m’as pas aimé - alors je ne t’aime plus"
ou encore
"je t’ai branché - tu m’as jeté - eh ben j’t’aime plus (na !)"
(etc)
Tu t’ennuies ou quoi?
Pourquoi une chanson ne vaudrait rien?Chacun a le droit d’y accorder la valeur qu’il veut, c’est aussi une histoire de goûts, d’attentes.
Moi, il y a plein de chansons simples et pas poétiques que j’aime beaucoup parce qu’elles vont me toucher ou me parler...et des chansons poétiques que je trouve chiantes...
@angieblue: Hé ho, et toi ça va ?
Ces questions ne sont pas illégitimes, ni suspendues à un seul avis personnel, ni à un argument d’autorité, ni à des distributions de bons ou mauvais points. Mais je prends note de ce "p’têt ben qu’oui, p’têt ben qu’non".
Et tout ça dans le calme.
Pour le reste, les textes d’ados (plus ou moins âgés) pour des chansons (très) niaises → next.
Et pourtant je ne pense pas que la ’banalité’ d’un sujet soit un obstacle. Par exemple beaucoup de chansons sont des histoires d’amour (quoi de plus banal comme sujet) dont certaines sont franchement poétiques. Je n’ai pas d’exemple qui me vienne comme ça. Juste peut-être ce truc, un mec qui parle des yeux de sa bien-aimée (encore un sujet hyper banal) que m’avait fait lire une copine il y a longtemps ; de mémoire ça donnait à peu prés :
« Tes cils sont autant de flèches tendues sur l’arc de tes sourcils, qui toutes atteignent mon cœur. »
Voilà. Aussi court que sublime. Extrêmement efficace.
La poésie étant une niche de la littérature (déjà que la littérature est une niche de la culture contemporaine), un texte de chanson qui serait poétique serait perçu comme niaiseux (Cabrel ne me contredira pas).
Même l’inverse (poème mis en musique) est passé de mode.
@moonshiner
Le texte que tu nous offres me touche énormément, et "poésie ou pas poésie" m’importe moins que de te remercier. Et je m’étonne que personne d’autre n’ait réagi jusqu’ici. Tu veux nous donner le nom de l’auteur (peut-être toi?) ? Et merci à Jean~Christophe sans qui je n’aurais sûrement jamais lu La Jasante de la vieille.
Moi je remercie Dominique Besnehard sans qui rien n’aurait été possible, mes parents qui m’ont toujours soutenu, et surtout vous public, qui me donnez la force d’avancer. Merci à tous, vraiment.
Il s’agit d’un poème tiré du recueil "Le coeur populaire" de Jehan Rictus. A lire aussi, "les soliloques du pauvre ". Les deux sont aujourd’hui ( en tous cas hier) publiés dans un même volume.
Moi je remercie Artaud le momo, Jésus Rastaquouère et moi-même.
@moonshiner
Yep, merci !
@djPessoa
Je voulais aussi te remercier, toi-même, pour le lien vers Sens Critique !
C’est moonshiner seul qui a posté ce texte ici; si ça n’avait été ici, ça aurait pu l’être ailleurs.
Si tu veux remonter à la source, il faut remercier angieblue qui a été l’inspiratrice du présent sujet.
Moi je remercie adventice & djpessoa, parce-qu’ils le valent bien qu’ils ne savent pas ce qu’ils font.
Edit - Oui, Laz’, post 28 ↓ c’est juste un poil tendu par-ci par-là ces dernières heures ☮
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