Une disparition brutale et précoce qui semble avoir échappé à beaucoup de monde en plein week-end férié.
J’ai eu la chance de papoter quelques minutes avec lui après un des premiers passages d’Angra en France, à l’Aquaboulevard en 1997, il faisait froid, mais froid...
Très sympa, ouvert, avenant, en plus d’une signature vocale très personnelle. Adeus, André.