Ben mazué
Chanson
Date :
Salle :
Tarif :
entre 10 € et 15 € Tarifs : Tarif carte/réduit 10€ | plein 15€
Il est des albums qu’on écoute comme on prend des nouvelles d’un ami. Celui de Ben Mazué est de ceux-là.
Bien entendu, il sait que rien de ce qu’il ne nous dira n’aura de sens s’il ne commence pas par le grand changement qui a bouleversé sa vie. C’est fini.
La nouvelle nous secoue, nous prend par surprise et pourtant c’est la principale force de Ben : toujours, il nous parle de lui et ça nous parle de nous. Alors on l’écoute.
Il a beaucoup marché, il fallait qu’il avance, qu’il pense, qu’il comprenne. Qu’il fredonne ses émotions, que les mélodies lui viennent comme elles viennent naturellement à un enfant qui se promène. Tout ça, c’est une renaissance.
Cette résilience bat au cœur de ce qu’il nous raconte. On l’écoute, surpris de le retrouver plus grand qu’avant, il nous parle d’un paradis, d’un divin exil où il n’a pas trouvé sa place, de ses enfants et d’elle, beaucoup. Des ruines du plus beau combat, des restes d’un amour énorme.
Il va bien, mais les silences sont chargés d’émotion. Ce qu’il ne nous dit pas par pudeur, les cordes et les cuivres s’en chargent. Il va bien, mais.
Et enfin il nous répond. Il fallait toutes ces circonvolutions, tous ces mots précis, parfois chuchotés, parfois criés comme arrachés de ses tripes, ces pianos bleus, ces arrangements d’une intelligence émotionnelle rare, ces cordes et ces cuivres montés en larmes, il fallait tout ça pour entendre ce qu’il nous dit quand il nous répond “Ça va.”
Il tient à nous rassurer avant qu’on le quitte.
C'est le temps des jours heureux.
Co-réalisé avec Théâtres en Dracénie dans le cadre d’un partenariat pour la saison 2021-2022
Il est des albums qu’on écoute comme on prend des nouvelles d’un ami. Celui de Ben Mazué est de ceux-là.
Bien entendu, il sait que rien de ce qu’il ne nous dira n’aura de sens s’il ne commence pas par le grand changement qui a bouleversé sa vie. C’est fini.
La nouvelle nous secoue, nous prend par surprise et pourtant c’est la principale force de Ben : toujours, il nous parle de lui et ça nous parle de nous. Alors on l’écoute.
Il a beaucoup marché, il fallait qu’il avance, qu’il pense, qu’il comprenne. Qu’il fredonne ses émotions, que les mélodies lui viennent comme elles viennent naturellement à un enfant qui se promène. Tout ça, c’est une renaissance.
Cette résilience bat au cœur de ce qu’il nous raconte. On l’écoute, surpris de le retrouver plus grand qu’avant, il nous parle d’un paradis, d’un divin exil où il n’a pas trouvé sa place, de ses enfants et d’elle, beaucoup. Des ruines du plus beau combat, des restes d’un amour énorme.
Il va bien, mais les silences sont chargés d’émotion. Ce qu’il ne nous dit pas par pudeur, les cordes et les cuivres s’en chargent. Il va bien, mais.
Et enfin il nous répond. Il fallait toutes ces circonvolutions, tous ces mots précis, parfois chuchotés, parfois criés comme arrachés de ses tripes, ces pianos bleus, ces arrangements d’une intelligence émotionnelle rare, ces cordes et ces cuivres montés en larmes, il fallait tout ça pour entendre ce qu’il nous dit quand il nous répond “Ça va.”
Il tient à nous rassurer avant qu’on le quitte.
C'est le temps des jours heureux.
Co-réalisé avec Théâtres en Dracénie dans le cadre d’un partenariat pour la saison 2021-2022