Elias Dris + Jessica Pratt
Folk
Date :
Salle :
Tarif :
entre 8 € et 14 € Elias Dris :
Véritable coup de cœur de la précédente édition du festival, nous sommes très heureux de vous présenter sur scène le nouvel album d’Elias Dris. Un peu moins de deux ans après son très remarqué premier album Gold In The Ashes, le jeune parisien Elias Dris revient cette fois-ci en groupe avec Beatnik Or Not To Be, nouveau disque hyper-audacieux qui habille de productions modernes un songwriting élégant et intemporel. Si les ambiances musicales sont largement plus amples et variées que par le passé - et c’est là l’importante évolution -, les compositions se rassemblent toutes autour d’un élément central : la personnalité d’Elias Dris, portée par un chant mêlant la profondeur à la décontraction juvénile.
Jessica Pratt :
Jessica Pratt semble sortie d’un temps où l’on croisait Crosby, Stills & Nash, Joan Baez ou Vashti Bunyan (accueillie sur le festival en 2017). Adoubée par Tim Presley (White Fence), elle nous enchante avec ce troisième album intitulé « Quiet Signs ». En digne héritière de cette tradition folk, la californienne signe un album où se côtoient phrasé aérien, guitare sèche et voix juvénile, une sorte de candeur et un spleen solitaire qu’elle porte, sans effort ni comédie.
Véritable coup de cœur de la précédente édition du festival, nous sommes très heureux de vous présenter sur scène le nouvel album d’Elias Dris. Un peu moins de deux ans après son très remarqué premier album Gold In The Ashes, le jeune parisien Elias Dris revient cette fois-ci en groupe avec Beatnik Or Not To Be, nouveau disque hyper-audacieux qui habille de productions modernes un songwriting élégant et intemporel. Si les ambiances musicales sont largement plus amples et variées que par le passé - et c’est là l’importante évolution -, les compositions se rassemblent toutes autour d’un élément central : la personnalité d’Elias Dris, portée par un chant mêlant la profondeur à la décontraction juvénile.
Jessica Pratt :
Jessica Pratt semble sortie d’un temps où l’on croisait Crosby, Stills & Nash, Joan Baez ou Vashti Bunyan (accueillie sur le festival en 2017). Adoubée par Tim Presley (White Fence), elle nous enchante avec ce troisième album intitulé « Quiet Signs ». En digne héritière de cette tradition folk, la californienne signe un album où se côtoient phrasé aérien, guitare sèche et voix juvénile, une sorte de candeur et un spleen solitaire qu’elle porte, sans effort ni comédie.